Le projet consiste à l’aménagement d’une forêt nourricière et communautaire suivant le concept « tiny forests » développé par le biologiste japonais Akira Miyawaki. Cette méthode de plantation dense et multiétagée gagne en popularité à travers le monde comme outil de restauration des milieux naturels localisés en zone urbaine, car elle permet d’accélérer l’implantation de forêts sur une petite surface. La forêt sera constituée de 3 strates de végétation formées de végétaux indigènes (strate herbacée [-1 m], strate arbustive [de 1 à 10 m], strate arborée [+ de 10 m]). Le projet comprend également l’installation de quelques nichoirs pour attirer les oiseaux.

Avantages projetés : 

• Création d’un îlot de fraîcheur qui favorise la biodiversité;
• Sensibilisation de la population à la création de mini-forêts sur des terrains résidentiels, commerciaux, privés ou publics;
• Augmentation du pourcentage de naturalisation du territoire de la ville;
• Sensibilisation de la population aux saines habitudes de vie et à la consommation d'aliments sains produits localement;
• Production de denrées alimentaires (fruits et légumes) disponibles pour la population;
• Revalorisation des espaces mal exploités;
• Projet-pilote réalisé à titre de laboratoire pour promouvoir le concept de forêt nourricière et communautaire auprès de la population;
• Encouragement de l'implication citoyenne et les relations intergénérationnelles.

Site proposé : 

Parc Richelieu, situé sur la rue Richelieu

Coûts estimés : 50 000 $. Le budget initial alloué au budget participatif était de 25 000 $. Toutefois, la Ville a décidé de doubler le budget consacré à la forêt nourricière. Le projet se voit donc accorder un budget de 50 000 $.